Depuis le mois de Juillet 2021, les représentants des cinq fédérations départementales des chasseurs de PACA, l’ANDCTG, la FRC et l’IMPCF ont travaillé sous la houlette d’un juriste de la FNC, à la réécriture d’un nouvel arrêté cadre pour la pratique de la glu. Cet arrêté a pour objectif de répondre aux exigences de la Cour de Justice de l’Union Européenne et à celles du Conseil d’Etat. Le printemps 2022 a été ponctué d’élections. Lors du Congrès de la FNC, le Président Willy Schraen s’est engagé à défendre toutes les chasses traditionnelles y compris la glu. Le Président Macron, a lui aussi annoncé qu’il allait rouvrir les dossiers de ces pratiques amenant ainsi le Président Willy Schraen à lui apporter son soutien lors des élections présidentielles et législatives. Ces dernières élections ont retardé la désignation d’un Ministre en charge de la chasse. Malgré tout, alors que la FNC avait étudié avec les services du Ministère différents arrêtés cadre, elle découvrait le 13 Juillet dernier, la tenue d’un CNCFS dont l’ordre du jour ne reprenait que 3 arrêtés sur les 5 normalement concernés. Suite à une décision collégiale, la FNC a décidé de ne pas boycotter le CNCFS. Elle a fait le choix de tirer profit de sa présence pour exprimer son mécontentement et réclamer la tenue rapide d’un nouveau CNCFS pour examiner la glu et la tenderie aux grives. Vendredi dernier, à l’occasion de la venue du Ministre de l’agriculture et du Ministre en charge de la transition écologique et de la cohésion des territoires dans les Alpes de Haute Provence, les représentants du Collectif Glu ont pu s’entretenir avec le Ministre Béchu. Durant ce court échange, les propos du Ministre ont permis de constater qu’il ne connaissait ni les différentes chasses traditionnelles ni le dossier juridique concernant la glu. Le Ministre a annoncé qu’il ne prendrait aucun arrêté concernant la glu et les chasses traditionnelles. Il souhaite attendre les arrêtés du Conseil d’Etat. A ce stade, nous demandons au Président de la République de respecter ses engagements auprès du Président de la Fédération Nationale des Chasseurs et de tous les chasseurs en soutenant la mise en œuvre de l’arrêté cadre qui permettra la pratique de la glu. Si rien n’était fait, les chasseurs se mobiliseront à nouveau pour venir grossir les rangs des mécontents lors de la rentrée de Septembre qui s’annonce déjà houleuse.

Fêtede la Saint-Hubert à Agonges, avec l'équipage du Percevent, le Rallye Janot et le Rallye Crespin, trois équipages de vènerie. Ces équipages pratiquent la chasse à courre dans le Bourbonnais pour les deux premiers, et dans le Var pour le Rallye Crespin. La fête s'est déroulée samedi 29 octobre devant le château de l'Augère (Allier).

Ce domaine est situé en Provence, au cœur du département du Var. Vous découvrirez un biotope d’exception où alternent vignes, bruyères, pins parasols et chênes centenaire. Vous pratiquerez la chasse devant soi au chien d’arrêt , sur 8 zones de chasses, composées de 3 rivières et deux étangs de pêche, ensoleillement garanti ! Avec plus de 900 hectares, ce domaine est à ce jour le plus grand domaine de chasse du Sud de la France. Situé au cœur d’une réserve naturelle, il doit sa réputation à la qualité de son territoire et à son accessibilité puisque vous y chasserez en plaine. Accueil et cuisine y sont irréprochables. Le climat méditerranéen permet de commencer la journée de chasse relativement tôt. Le nombre de chasseurs par zone de chasse est limité dans un soucis de qualité et de sécurité. La période de chasse s’étend de mi septembre à fin février. Possibilité d'accompagnant, de guide avec chien sur demande nous contacter. Spécialité chasse aux petits gibiers faisans, perdrix. Le séjour comprend deux journées de chasse sur le domaine. Arrivée la veille au soir de votre séjour. L'hébergement en hôtel 2* et petit déjeuner. Les repas du midi, du soir. Remise de la bourriche 12 pièces. Validation du permis de chasse obligatoire, national, départemental, ou 3 jours. Assurance valide à présenter lors du séjour. Port du gilet ou casquette fluo obligatoire. Référence WEPG02 Fiche technique Type de Gibier Faisans - Perdrix Type de chasse Devant soi Nombre de chasseurs 1 Personne Durée 2 jours Hébergement Oui Divers Possibilité groupe Département Var Catégorie Petit Gibier Encette journée d’août, à l’heure où des pénuries en eau touchent des centaines de villes françaises, certains Olliérois assurent que tout est rentré dans l’ordre depuis « la crise » du 16 juillet, lorsque l’eau des robinets a été coupée. D’autres, plus anxieux, se demandent ce que leur réserve l’avenir. En contrebas, le Vallat, qui d’habitude ruisselle dans ce Plage, soleil et farniente. Retrouver la mer fait toujours le même effet. Ces amis belges démarrent leurs vacances en jouant comme des enfants dans l’eau. Plus que trois semaines avant la fin de l’été, les campings du Var font toujours le plein. La saison est loin d’être terminée. Au camping 3 étoiles “Buffalo Hacienda” à La Seyne-sur-Mer, à peine un emplacement se libère qu’il est, de nouveau, occupé quelques heures après. Pour Stéphanie, Jérôme et Axelle, venus de l’Ain, c’est plus que des vacances, c’est presque une libération. Pour les enfants, c’est l’occasion de trouver les joies de la baignade. Mais pendant que certains s’amusent, d’autres plient bagages le fameux chassé-croisé des aoûtiens. Les aurevoirs difficiles aussi entre amis, comme Andréas et Clément qui profitent d’une dernière partie de ping-pong avant le départ. Heureusement, il reste les réseaux sociaux qu’on s’échange à la fin du séjour pour toujours garder un lien. Des vacances remplies de rencontres et de promesses celle de se revoir l’année prochaine. TF1 Reportage I. Bornacin, T. Rolnik, F. PetitDécouvrez aussi LaFédération des chasseurs du Var avec les sociétés de chasse volontaires du département, va reconduire pour la neuvième année l’opération d’enve rgure nationale « Un Dimanche à la ^{A propos Le Club de l'Epagneul Français a pour objet d'amélorier la race de l'Epagneul Français et d'en encourager l'élevage, contribuer à sa promotion, de développer son utilisation. Il exerce son activité dans le cadre des statuts, règlements et directives de la Société Centrale Canine qu'il s'engage à respecter et à appliquer. Bienvenuesur le site des défenseurs des grives et de ses chassesbbb Vous avez un problème de chasse,des questions. Vous voulez participer aux différentes manifestations que nous organisons. Prenez contact avec nous. Nous y répondrons aussi vite que nous le pouvons.ATTENTION: Toutes les photos ne sont pas libre de droit, elles sont toutes soumises} Il n’est pas passé un jour sans que l’on parle de ce chasseur » Suisse ayant tiré 11 fois sur des ânes d’une associations le dimanche 17 septembre, à Arith Savoie. Accompagné de son frère, le Genevois d’origine portugaise a tué 4 ânes. Dans les colonnes de Le les chasseurs de l’association intercommunale réagissent Nous lui avions délivré une carte annuelle de membres dite étrangers». Comme il réside sur Genève, il ne peut pas être sociétaire de notre association, explicite son président Bernard Morand. Tout a été fait en bonne et due forme. Il a un permis de chasse français ndlr obtenu dans l’Ain il y a une dizaine d’années et une assurance. Il a longtemps chassé dans le Jura. Le 29 septembre, nous l’avons convoqué pour obtenir une explication avant de décider de son exclusion. Il ne s’est pas présenté.» Le préfet de Chambéry F a donc été interpellé pour faire acter cette décision. Marcel Joly, chef d’équipe du tireur compulsif explique encore Plus personne ne parvient à le joindre. Il ne répond à aucun appel venant de France. Je l’ai posté à environ 170 m du pré où se trouvaient les ânes. On a croisé des génisses. En rigolant, je lui ai dit Attention à elles!» Il s’était déplacé jusqu’à 50 m des ânes. À 170 m, on ne peut déjà pas confondre ânes et gibier, alors à 50 m… En plus, c’était une journée claire», poursuit le chasseur savoyard, qui nage dans une totale incompréhension. Il n’y a aucun témoin qui l’a vu faire. Il était seul. Nous avons retrouvé onze douilles dans le champ. Il avait une carabine à rechargement semi-automatique Browning. Si son fusil était réglementaire, il disposait de trois balles par magasin. Nous avons entendu les détonations. Il a dû recharger a minima quatre fois. Et reprendre la visée.» Contacté par Le Matin», le tireur a refusé de livrer sa version des faits, préférant nous diriger vers l’avocate qu’il a dû engager pour sa défense. Le Genevois est en très mauvaise posture et pourrait se retrouver face à un tribunal pénal. Comment va-t-il faire croire au Parquet de Chambéry – très vite saisi au vu des circonstances – qu’il a confondu à quatre reprises sa cible? Et prouver que son acte n’était pas intentionnel? Me Vanessa Vichi, son avocate n’a pas encore eu accès au dossier et au PV d’audition de son client, établi par les enquêteurs Elle rapporte Je l’ai rencontré la semaine dernière. Il est très touché et très peiné par cette situation. Il est bien l’auteur des coups de feu. Il assumera pleinement l’erreur qu’il a commise. Par contre, il conteste avoir fui. Il a attendu que la gendarmerie arrive.» Et pour ce qui est de confondre les bêtes ? Nous n’avons pas encore abordé cette question». Nous suivrons attentivement cette enquête afin que la justice tranche dans ce dossier Tout d’abord il est important que la chasse est encadrée dans des règles strictes. De plus la loi protège désormais les chasseurs. En effet depuis 2010 empêcher de chasser est puni d’une amende de 1 500 €. Un décret du ministère de l’Ecologie, publié au JO du 6 juin 2010, crée une contravention pour obstruction à un acte de chasse ». Une amende de cinquième classe montant variant actuellement entre et euros punira tout acte d’obstruction concerté qui conduirait à empêcher le déroulement d’un ou plusieurs actes de chasse. Venant on aux faits dimanche matin sur la commune de Pujaut, une dizaine de personnes habillées de noir, capuche sur la tête et foulard masquant le visage ont fait éruptions sur une partie de chasse. Ceux-ci ont manifesté leur désapprobation de la chasse près de l’étang de Pujaut, aux environs du chemin de Beauchamp rapporte Midilibre Les manifestants crient des slogans anti-chasse, et brandissent des banderoles. “Ils ont pris en photo un des leurs sur le capot d’une voiture de chasseur, pour faire croire qu’on leur a foncé dessus !”, assure un chasseur. Un accrochage confirmé par la compagnie de gendarmerie de Bagnols-sur-Cèze. “Effectivement, des personnes hostiles à la chasse ont fortement vilipendé les chasseurs. Des accrochages verbaux”, confirme le capitaine Uréna, commandant en second la compagnie de Bagnols. Après avoir filmé la manifestation, le groupe de contestataires est parti. Les chasseurs ont déposé une plainte auprès des gendarmes. Cela rappel fortement cette article de 2016. Qui n’a pas croisé en forêt des cartouches vides de chasse . Aujourd’hui la communauté de chasseur fait de plus en plus attention à bien récupérer leurs douilles après le tir. Certains fusils éjectent les douilles à plusieurs métres , il faut du temps pour trouver dans la végétation ces douilles. Jusqu’à maintenant, les chasseurs récupéraient les étuis vides après avoir tiré pour les jeter ensuite dans les poubelles individuelles des maisons. Les chasseurs ramassent leurs cartouches ! Mais aujourd’hui une chaine de recyclage se met en place. A l’image de ce qui ce fait déjà dans d’autres départements comme la Gironde ou le Gers et ailleurs en France, les chasseurs landais ont lancé la saison dernière l’opération ramassage des cartouches » au sein des ACCA. Le message est bien passé une tonne de douille ont été récupéres. Il est important que chaque responsable d’ACCA motive ses troupes afin que les cartouches soient rassemblées dans un lieu précis d’ailleurs dans les prochains jours la FDC annonces que les sacs seront à dispo des ACCA. Les chasseurs prouvent ainsi qu’ils sont les premiers écologistes ! La chasse est une passion dangereuse et ce n’est pas ce jeune chasseur de 24 ans qui dira le contraire. Dimanche premier octobre un sanglier a chargé un chasseur de 24 ans, le blessant gravement au mollet. La blessure est importante pas loin de 25 cm au mollet. L’accident est survenu dans la fôret de la Garenne à Sedan. La victime a été transporté au centre hospitalier de Sedan. Mardi 3 Octobre en milieu d’après-midi sur la commune de Saint-Privas , les parents d’un chasseurs de la commune entendit des cris dans le terrain d’un habitant. ACCA de Saint-Privas nous explique ensuite la scéne Le jeune chasseur et ses parents sont allés voir le puit dans leur jardin, 3 marcassins d’environ 10kg bloqués au fond du puits et qui ne pouvaient remonter à la surface… Il on alors fait appel au sapeur pompiers pour les extraire de là. L’ACCA a tenu a remercier son Garde-Chasse Particulier et aussi les sapeurs pompiers présent lors de l’intervention,. Une fin heureuse pour tout le monde, où tous ont contemplés le relâchement des marcassins retrouvant la nature . Lors d’une partie de chasse aux sangliers, ce dimanche sur la société de chasse de Champeaux . Le soir venu impossible de récupérer les deux chiens . Le lundi un collégue du traqueur a entendu des aboiements au fond d’un précipice à 15 mètres de profondeur. Ces deux chiens de chasse ont été secourus par les pompiers de Dordogne à Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier. Il a fallu au total 10 pompiers, du centre de secours de Nontron et du Grimp pour sauver les chiens , heureusement l’un comme l’autre n’étaient pas blessés. Cette initiative consiste à proposer aux non-chasseurs qui le souhaitent de plonger, pour une matinée, au cœur d’une partie de chasse telle qu’elle est pratiquée sous ses formes les plus diverses. Chasse devant soi, en battue, au petit gibier ou au grand, chacun pourra découvrir le mode de chasse de son choix. Munis de leur gilet orange, bottes, jumelles et d’un solide pantalon, les participants vont pouvoir accompagner les chasseurs sur le terrain en toute sécurité, et poser toutes les questions qu’ils souhaitent. Cette initiative des chasseurs veut également témoigner de l’exercice sécurisé d’une chasse responsable, porteuse de valeurs et d’éthique, bien loin des clichés que certains s’acharnent à y attacher ! Où se dérouleront les parties de chasse ? Dans chaque département, des sociétés de chasse communales ou privées, ont répondu à l’appel de leur Fédération départementale pour accueillir des non-chasseurs. Elles s’activent avec attention pour le rendez-vous du 15 octobre. Comment sera organisée la journée ? Dimanche 15 octobre au matin, chasseurs et non-chasseurs se donneront rendez-vous au lieu indiqué lors de l’inscription pour participer à une véritable journée de chasse. L’heure exacte sera notifiée sur les invitations envoyées aux participants quelques jours avant l’événement. Le Président de la société de chasse accueillera les participants et les invitera à se retrouver dans un lieu convivial pour le café de bienvenue et la présentation de la journée. La partie de chasse se déroulera uniquement le matin sur les territoires relevant de la société de chasse invitante. Chaque participant accompagnera un ou plusieurs chasseurs confirmés connaissant très bien le territoire. A midi, tout le monde se réunira. Le bilan de la matinée sera réalisé par le Président de chasse et donnera lieu à des échanges entre chasseurs et non-chasseurs. Un repas convivial sera partagé en commun afin de poursuivre les discussions. A l’issue de la journée, chaque participant repartira avec un petit livret explicatif et différents documents présentant la faune du département et les actions de conservation conduites par les chasseurs ; ce sera aussi l’occasion d’aborder les questions de sécurité et de relations entre usagers des milieux naturels. Modes de chasse et gibier recherché ? Chaque société de chasse proposera ce jour-là un ou plusieurs modes de chasse, entre la battue aux grands gibiers, la chasse devant soi au chien d’arrêt, ou encore celle du lièvre aux chiens courants… Les animaux éventuellement prélevés le seront dans le cadre strict d’un plan de chasse ou plan de gestion édicté par la Fédération des Chasseurs. Un accident peu ordinaire c’est produit en Dordogne dans la forêt de la Double , à Échourgnac. La victime un jeune archer de 23 ans, il participait avec d’autres personnes à une battue silencieuse. Lors de cette chasse au sanglier, qui se déroulait sur le domaine privé de Bernicot, l’homme a reçu accidentellement dans la cuisse une flèche décochée par un autre chasseur. D’après les premiers éléments de l’enquête, il semble que le projectile ait été dévié après avoir effectué un ricochet. Sur place, les gendarmes et les agents de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage ont effectué les premières constatations. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de l’accident, qui n’a heureusement que légèrement blessé le chasseur. Le journal 20minutes révèle ce matin qu’un homme de 70 ans a été tué par un autre chasseur qui l’a confondu avec un sanglier, à Sellons Source d’Argens, dans le Var, lundi. Un accident de chasse a eu lieu lundi à Seillons-Source-d’Argens, dans le Var. Un chasseur pensait avoir aperçu un sanglier dans un fourré. Il a tiré à trois reprises, en blessant non pas l’animal, mais un autre chasseur de 70 ans qui se trouvait à proximité du bois, rapporte 20 Minutes. La victime a succombé peu après. Le suspect, un homme de 30 ans, a été interpellé et l’enquête a été confiée à la brigade de Brignoles. Lachasse à la grive au poste à feu. La chasse à la grive au poste à feu ou à tir, est une chasse traditionnelle pratiquée principalement dans le sud de la France, en Provence. Elle consiste à faire poser les grives afin de pouvoir les tirer. Pour y parvenir, le chasseur utilise des appelants (grives en cage) ou / et des appeaux (chilet 2jrIdy.

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